Non, ce n'est pas un gros mot, c'est la phobie de la page blanche (attention hein, pas "des" pages blanches. Quoique, ce n'est pas plus ridicule d'avoir peur d'un annuaire)
À ne pas confondre avec l'anatidaephobie qui est la phobie que quelque part, d'une façon ou d'une autre, un canard vous observe (si si, vérifiez, ça existe vraiment).
Depuis quelque temps, ce n'est pas que j'ai perdu l'inspiration mais je suis aussi dépouillé que les marronniers des Buttes Chaumont à l'orée de l'hiver.
Je sais que c'est facile d'écrire sur la page blanche quand on ne sait pas quoi écrire mais je ne peux m'y empêcher.
Il faut que mon esprit exulte.
Et oui, cher lecteur, vous venez de vous faire avoir. Ce texte est vide et ne renferme aucune morale.
Ce n’est pas que les précédents aient une velléité de faire réfléchir, mais il faut avouer que celui là, c'est vraiment le plus vide...
J'ai bien tenté d'écrire quelque chose sur la connerie...mais j'ai trouvé ça trop con.